"Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé."
Une engueulade futile.
Des mots envoyés comme ça, au hasard de la pensée, par colère.
Des regrets puis des inquietudes.
De la culpabilité aussi.
Puis le silence.
Plus un mot, plus un cri, plus un murmure glissé au creu de l'oreille.
Un silence.
Ce silence.
Insupportable silence.
Un Batiment à l'allée, ce batiment si cher à son coeur, serre le miens au premier regard.
Une promenade sur la plage, l'air me fouette le visage et me fais du bien.
Dans la voiture, sur le chemin du retour, une chanson triste dont le titre m'échappe passe à la radio.
Les larmes peuvent enfin couler.
Comme par magie, simplement, le mal sort doucement.
En silence.
Toujours ce silence...
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Edito des 5 dernières minutes: "Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé."